Tout d’abord, sachez que j’ai longuement hésité avant de publier ce billet… Mais tant pis, je me lance !

Je ne sais pas si vous avez vu un documentaire diffusé sur France 5 cette semaine, intitulé Médicaments sous influence.

photo France 5

Dans cette émission d’anciens cadres de labos pharmaceutiques (puisqu’ils ont été licenciés pour avoir voulu parler) dénoncent les pratiques quelque peu douteuses des labos qui n’hésitent à recruter (et donc à payer) des experts parmi les médecins spécialistes de certaines pathologies, ces mêmes experts qui travaillent parfois aussi pour le gouvernement. Puisque légalement, l’un n’empêche pas l’autre (on croit rêver !), certains médicaments ou vaccins arrivent sans encombre sur le marché malgré une efficacité parfois peu prouvée et des effets secondaires dévastateurs (souvenez-vous du Médiator ).

Mieux, ces mêmes médicaments ou vaccins font l’objet de campagnes sanitaires nous poussant par exemple à faire vacciner les adolescentes contre le cancer du col de l’utérus. C’est le cas pour le Gardasil, pour lequel on manque de recul et l’on voit par exemple dans ce documentaire une jeune femme de 20 ans qui, après avoir été vaccinée adolescente, s’est retrouvée ménopausée et donc incapable d’avoir des enfants.

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Je précise que cette émission édifiante est disponible en replay ICI, et sera rediffusée sur France 5 le jeudi 26 février à 00h50.

Pour continuer sur le sujet des vaccins, je voulais vous parler de mon expérience de maman. J’ai trois garçons, et quand j’ai eu les deux premiers, j’étais beaucoup plus jeune, je pensais que les médecins savaient tout, et j’ai donc fait vacciner mes deux aînés contre quasiment tout ce que le médecin me conseillait (les vaccins obligatoires mais aussi la rougeole, les oreillons, la rubéole, la méningite…). Ce médecin n’hésitait pas à me menacer de la mort certaine de mes enfants si je ne les faisais pas vacciner ! A chaque fois, j’appréhendais énormément car parfois les effets secondaires étaient épouvantables : fièvre très élevée, abattement, fatigue etc. mais je me disais que c’était pour leur bien. J’avais quand même été un peu choquée par l’attitude du corps médical qui m’avait par exemple fait faire un BCG à mon 2ème fils alors qu’il n’avait que 2 jours (c’était à la maternité !).

Et puis j’ai commencé à  me renseigner, j’ai lu quelques ouvrages, notamment Vaccinations: les vérités indésirables, de Michel Georget.Voici une interview de ce biologiste :

J’ai visionné des documentaires, par exemple celui-ci, diffusé à l’époque sur Arte : Silence, on vaccine !

Je me suis rendu compte qu’en France on nous oblige à vacciner les enfants pour l’entrée à la crèche ou à l’école, ce qui n’est pas le cas dans beaucoup d’autres pays. Et alors que seuls 3 vaccins sont obligatoires (diphtérie, tétanos, polyo), les mélanges effectivement disponibles en contiennent 5. On en fait donc 2 de plus que ce qui est légal (ce qui veut dire aussi que si l’enfant souffre d’effets secondaires graves, car si on lit la notice , il y a quand même de quoi s’affoler, eh bien, c’est tant pis pour nous !).

Nous avions décidé d’attendre pour faire vacciner Canaillou car il était gardé à la maison quand il était bébé. Mais quand nous avons eu une place en crèche, il a bien fallu le faire vacciner et il a commencé à faire des poussées d’eczéma dès la première injection mais on nous a dit que c’était un hasard, bien sûr… Du coup depuis, on ne lui fait que les vaccins obligatoires et aucun de ceux qui sont simplement recommandés, ce qui nous a d’ailleurs valu de nous faire sermonner par le médecin de la crèche à coups de “Vous savez combien d’enfants meurent de la rougeole ou d’une hépatite ?”. Dès qu’on pose des questions sur les vaccins, les adjuvants utilisés, les dangers éventuels, on est considéré comme des inconscients ou des illuminés. C’est un peu comme quand on est végétarien, tout le monde vous fait la morale !

Heureusement, il y a aussi des médecins qui savent se remettre en question, j’en ai rencontré. Ca fait du bien quand un médecin nous écoute et nous comprend ! Non, je ne suis pas idiote ni ignorante, mes questions sont légitimes… Tout le monde ne met pas Louis Pasteur sur un piédestal (cherchez un peu sur le Net, vous trouverez des choses intéressantes !).

Il y a des méthodes homéopathiques pour préparer l’organisme à l’agression que représente le vaccin, comme l’isothérapie. Certains enfants supportent bien les vaccins, d’autres se retrouvent handicapés à vie, cela en vaut-il la peine ? Pour Canaillou, nous privilégions les médecines douces comme l’homéopathie ou l’aromathérapie, très efficaces pour les enfants comme le adultes (je ne me soigne quasiment que comme ça et ça marche, n’en déplaise à certains !) Ce qui ne nous empêche pas de donner des médicaments à Canaillou lorsque c’est nécessaire. Il vient par exemple de suivre un traitement antibiotique car il en avait besoin. C’est l’homéopathe qui le lui a prescrit, d’ailleurs… Cela faisait deux ans qu’il n’en avait pas eu , quand je pense que mes aînés étaient sous antibiotiques quasiment tous les mois au même âge ! Certains des camarades de Canaillou prennent des antibiotiques tout l’hiver…

Grâce à Internet, il est beaucoup plus facile de s’informer maintenant. Quand je vois que des biologistes et des scientifiques tirent la sonnette d’alarme, j’estime qu’il y a de quoi s’inquiéter. Et il est évident que les vaccins et les médicaments en général, utiles ou non, représentent une manne pour les laboratoires pharmaceutiques…Je voudrais juste avoir le droit de choisir…

Et vous, qu’en pensez-vous ? Si vous avez des adolescentes, sont-elles vaccinées contre le cancer du col de l’utérus ? Quel type de médecine utilisez-vous pour vous soigner ?

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